Daniel Massamba Meboya

  Les professionnels en communication et information publique œuvrant au sein de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali, mieux connue sous l’acronyme MINUSMA, ont participé du 21 au 23 mars 2017 à Bamako, Mali à un atelier de formation dont le thème était : Communication stratégique: Comment répondre aux sollicitations des médias.   Daniel Massamba Meboya a participé à ladite formation qui était animée par Monchef Bouhafa, directeur et fondateur du Center for Development Communication (CDC).   Pendant trois jours, les modules en matière de la consolidation d’une nouvelle approche des interviews médias ; conception des messages ; comprendre ce que cherchent les journalistes ; coaching individuel ; interviews en directe et communication de crise ont renforcé les techniques de communication stratégique des participants. «  Je viens de découvrir une méthode simple, amusante et efficace de gérer des questions difficiles et compl

Le directeur-adjoint des Nations Unies au Ministère français des Affaires étrangères, Jean-Marc Séré-Charlet, a été reçu ce mardi 7 mars 2017 par M. Mohamed El-Amine Souef, chef de bureau régional de la MINUSMA à Gao.   Le Commandant adjoint du Secteur-Est, le Commandant Régional de la Police onusienne/UNPOL, la Cheffe de la Division des Droits de l’Homme et de la Protection de la MINUSMA ont pris part à cette rencontre. Le Chef de Bureau de la Mission onusienne a informé la délégation française des derniers développements intervenus dans la région concernant les autorités intérimaires, les patrouilles mixtes du Mécanisme Opérationnel de Coordination (MOC), la collaboration entre l’opération Barkhane et la MINUSMA pour la sécurisation de la région, entre autres.   Il a aussi exprimé sa satisfaction de voir les autorités françaises visitées la région, notamment le président français et tout récemment le ministre de la Défense.   «  Considérant le rôle que la France joue dans

  Sur les ondes d’une radio locale de la Cité des Askia, faisant référence à l’attentat meurtrier qui avait ciblé le siège du MOC à Gao, M. Mohamed El-Amine Souef, Chef du Bureau régional de la Mission onusienne sur place, avait déclaré : « ceux qui croyaient qu’ils avaient tué le MOC et ceux qui croyaient que le MOC était par terre, se sont trompés. Le MOC est debout ». Preuve s’il en fallait, de l’effectivité du MOC à Gao.   Les éléments du MOC poursuivent leurs patrouilles dans la ville de Gao à un rythme soutenu sous l’encadrement du contingent sénégalais de la MINUSMA. Ils sont déployés depuis le mardi 14 mars 2017 autour de l’Assemblée Régionale qui a récemment accueilli la cérémonie de l’investiture des autorités intérimaires de la région. Ce bâtiment est aussi leur nouveau quartier général. « En ce qui concerne les autorités intérimaires, nous serons là à tout moment pour les sécuriser » a indiqué le Colonel Rhissa Ag Sidi Mohamed, coordinateur du MOC. « L

  Gao, le vendredi 10 mars 2017 - M. Mohamed El-Amine Souef, chef de la MINUSMA à Gao, a accordé une interview à la Radio Naata - 91.7 MHz sur l’opérationnalisation du Mécanisme Opérationnel de Coordination (MOC) et l’accompagnement de la MINUSMA après l’incident survenu le 18 janvier 2017.   Cette interview a été réalisée successivement par M. Ousmane Touré, directeur de la radio Naata, et Daniel Massamba Meboya du Bureau de la Communication et de l'Information Publique à la MINUSMA. ---------- L’opérationnalisation du Mécanisme Opérationnel de Coordination, en sigle MOC et les progrès réalisés à ce jour Le MOC est une structure qui est prévue dans le cadre des accords de paix en vue de contribuer à la sécurisation de la ville et de la région.   Comme le nom l’indique, c’est le Mécanisme Opérationnel de Coordination.   Ce mécanisme comprend entre autres des éléments de la Plateforme, de la CMA et de FAMa, c’est-à-dire des représentants des parties signata

  Les cadres et le personnel du Mécanisme Opérationnel de Coordination (MOC) viennent tout juste de terminer la formation sur le contenu de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger, et sur la mission et la place de cette structure dans l’architecture générale de sécurisation du pays pendant le processus de sortie de crise.   La formation s’est tenue du 6 au 7 mars 2017 dans l’enceinte du Super Camp de la Mission onusienne à Gao. Douze jours seulement après le démarrage des patrouilles mixtes dans la ville de Gao, les éléments du MOC prennent petit à petit conscience du rôle qui leur revient dans la sécurisation des régions du nord du Mali, plus particulièrement pour prévenir tout vide sécuritaire avant, pendant et après le processus de cantonnement, intégration et DDR. Facilitée par le Centre pour un Dialogue Humanitaire (CDH), une organisation non-gouvernementale basée à Genève, «  cette formation de deux jours a permis aux participants d’ac

  M. Thomas Kontogeorgos, chef en charge du désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) au département des opérations de maintien de la paix au siège des Nations Unies à New York, vient d’effectuer ce mercredi 8 mars 2017 une visite de terrain à Tinfadimata, dans la commune de Tindermene, région de Ménaka.     Il était accompagné de M. Mohamed El-Amine Souef, chef de bureau régional de la Mission onusienne à Gao et de plusieurs membres de son personnel, notamment de la section réforme du secteur de la sécurité-DDR, du bureau de la Communication et de l’Information Publique, de la Police onusienne/UNPOL, et du commandement du Secteur-Est.   Le représentant de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le Coordinateur du Mécanisme Opérationnel de Coordination (MOC) faisaient également partie de la délégation. « Nous venons de visiter Tinfadimata, une localité où nous avons réalisé trois (3) projets de réduction des violences communautaires et sommes t